Africa Banking Forum Live & DELL TECHNOLOGIES : Le cloud, nos banques sont-elles prêtes ?

Africa Banking Forum Live & DELL TECHNOLOGIES : Le cloud, nos banques sont-elles prêtes ?

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vous accueillir à cette session sur le thème du cloud comme vous le savez le cloud est une évolution technologique emblématique d'une nouvelle ère 2.0 et c'est un élément qu'il suscite de nombreuses expectative au sein de la finance mondiale a des pistes d'évolutions fonctionnelles s'ajoute ainsi des opportunités technologiques susceptibles de transformer la relation bancaire et enfin ne l'oublions pas le cloud représente également un enjeu géopolitique comme le démontre notamment les réflexions des acteurs européens autour d'un cloud européen alors il sera à l'occasion de cette conférence intéressant de se pencher sur les opportunités du plat de au sein du continent africain est également de recontextualiser cette évolution dans un paradigme de plus en plus axé vers une ouverture sectoriel pour analyser la problématique du cloud sous différents angles je vous propose d'aborder trois 3 grands axes de réflexions qui seront l'autre notamment traité pendant le débat avec l'ensemble des participants dans un premier temps comment évoluent les travaux des banques africaines sur le cloud et quel état des lieux on peut dresser à date sur cette situation au sein de l'écosystème africain ensuite deuxième point précis qui sera abordée avec à l'occasion de ce débat quels sont les apports du cloud pour l'évolution des services financiers est particulièrement l'inclusion financière et numériques au sein du continent africain qui est comme vous le savez un enjeu phare dans cette région du monde et enfin dans un troisième temps qu'elle analyse prospective du sujet et quels apports du club pour l'évolution de la finance mondiale pour réfléchir et échanger sur tous ces sujets j'ai le plaisir d'être accompagné d'éminents experts du monde aussi bien bancaire que du monde de la technologie avec qui nous aurons l'occasion d'interagir pendant sept heures et demie de débats dont tout d'abord monsieur pedro olympio de la société eco bank bonjour et bienvenue monsieur olympio je vous laisse être activé votre micro si vous souhaitez dire vous présenter à l'attention des différents participants bonjour là bonjour anne briand très bien merci monsieur guy noël bambi bonne de la société lcb banque bonjour et bienvenue monsieur bambi bonne bonjour bonjour à tout le monde et j'espère que ça sur l'album débat avec tout ce que nous suivent donc c'est depuis le congo-brazzaville je rappelle que la lcb banques et filiale de bell c'est ben du maroc très bien merci monsieur monsieur alexis kabongo m pays de et gfi banques bonjour et bienvenue monsieur bonjour un second coup je suis ravi vous participez avant juin et enfin la partie expertise technologique monsieur ahmed iraqi de la société dell bonjour et bienvenue bonjour andrea donc moi je m'appelle rien à dire à qui je suis apte basauri system engineer chez telle technologie je suis ravi d'être avec vous aujourd'hui depuis casablanca merci à tous alors petite précision organisationnel pour assurer le bon déroulement du web in a comme khadija l'a mentionné en introduction vous avez à votre disposition un espace de chat ainsi qu'une interface de questions réponses si vous discutez interagir avec 800 participants dans ce débat et nous consacrerons donc la dernière demi-heure de la session autriche anton action à partir des questions et remarques que vous pourrez poser pendant leur consacrée à l'échangé alors je vous propose tout de suite de démarrer avec une première question à vocation de recontextualisation question que j'aimerais adresser à monsieur ahmed iraqi qu'est ce que le cloud quelles sont les caractéristiques de cette évolution technologique et plus spécifiquement quels sont les apports du cloud pour le secteur financier merci beaucoup andreia et merci à une conférence d'avoir organisé sous moblin arts autour de ces thématiques très importante qui le cloud et notamment dans les systèmes et des services financiers je vais je vais d'abord essayer de définir et d'expliquer ce concept en fait le cloud est un modèle opérationnel de consommation de ressources et y de ressources informatiques ayant certaines caractéristiques techniques et financières alors ces ressources peuvent être de l'infrastructure notamment des machines virtuelles qu'on appelle les vm ou instance ça peut être du stockage à jpeg bloc fichiers ou objets ou ça peut être du réseau on parle dans ce cas là de infrastructure as a service sas ses ressources aussi consommables dans le cloud peuvent être des applications ça peut être de la bureautique ça peut être du crm de la messagerie de la comptabilité dans ce cas là on parle de software as a service sas où ça peut être aussi des plateformes pour les développeurs le développeur envoie juste son code et la plateforme s'occupe de toute l'infrastructure derrière donc on parle de passe ou plate forme à ce service alors quelles sont les caractéristiques de ce modèle opérationnel qu'est le cloud il ya plusieurs caractéristiques techniques et financières qu'on va voir ensemble tout d'abord le self-service ça c'est quelque chose de très important toutes les ressources sont consommables comme un service avec un catalogue est un portail d'accès pour les clients ensuite vous avez la transparence financière c'est à dire que le coût de ces services est connu en amont et le modèle est de type opex à dire qu'on paie mensuellement les ressources consommées c'est miss c'est que c'est comme un à loyer avec une scalabilité à la hausse ou à la baisse en fonction des consommations ensuite le troisième aspect c'est à l'automatisation et la création de ces ressources et automatisable à travers des blue print ou du code et pouvant être reproduite si besoin par exemple une panne ou quelque chose on peut reproduire facilement la création des ressources et finalement l'observa bilité c'est à dire que ces ressources vont avoir un suivi détaillé de la consommation les connexions qui s'est connecté comment pourquoi et de la performance pour le suivi de la performance alors quels sont les types de clouds tout d'abord le cloud n'est pas une destination et n'oblige pas à sortir ces données de son entreprise on peut avoir un cloud ayant les caractéristiques dont j'ai parlé plus tôt dont son propre datacenter on parle dans ce cas là de cloud privé alors quand on sort ces données et en consomment ces ressources informatiques chez un service provider on parle de cloud public et on peut avoir un mix des deux donc ayant une partie des applications au local dans le cloud privé alors en général ce sont les applications les plus critiques ou qui ont besoin de certaines règles de compliance notamment chez les banques il ya des règles de compliance on ne peut pas sortir les données par exemple de certains pays ou de certaines entreprises ou avec des exigences en termes de performances c'est à dire des fois des latences qui ont besoin de latence très faible on laisse des applications dans le cloud privé une autre partie des applications peut être mise dans le cloud public avec moins d'exigences de kanpe lines et de performance et quand on mixe les deux ans parle de cloud hybride finalement pour terminer quels sont les apports pour le secteur finance et du cloud d'abord l'agilité de la création des services informatiques pour les développeurs et donc on réduit le temps de mise à disposition in fine et des services financiers au client final ce qu'on réduit le temps de création des ressources informatiques et on est finalement réduit le time to market de sortie de soi de nouvelles réalisa plis katif de nouvelles versions applicatives ou de nouveaux services finance ça c'est le premier point termes d'apport le deuxième point c'est l'adaptation de l'infrastructure et la consommation à usage on sait très bien chez les banques et des milieux financiers il ya des traitements de fins de mois avec des activités plus importante des traitements de fins d'année des fois et donc on peut avoir une scalabilité à la hausse ou à la baisse en fonction du besoin de la consommation du cloud et finalement je dirais que le cloud peut aussi aider certaines entreprises financières ou pme ou start up qui démarre en consommant toutes les ressources dans un premier temps dans le cloud et donc pouvoir démarrer rapidement l'activité sans investissements importants en amant de type qu'un texte donc voila un petit peu ce que j'avais à dire sur sur le cloud et les apports sur le pour le secteur financier merci monsieur iraqi pour cet éclairage donc on retiendra la variété des modèles dans le domaine du cloud et en termes d'apport je relèverai également un mot clé le concept d'agilité qui est très valorisé en ce moment au sein du secteur financier et qui va constituer une nouvelle donne en quelque sorte pour l'évolution du secteur si nous prenons en considération les réalités non seulement technologique et sectorielles mais également sociétal qui caractérise cet écosystème j'aimerais maintenant me tourner vers vous monsieur pedro olympio pour avoir un peu votre regard en tant qu'expert du monde bancaire comment est-ce que les entités financières africaines travail texte sur le sujet du cloud et j'aimerais en particulier avoir un petit peu votre votre expertise sur une zone géographique dont on parle peut-être un petit peu moins dans ce type d'événement à savoir les pays d'afrique lusophone est particulièrement sain tout mais il plisse est également l'angola qui est comme vous le savez sont des zones pour l'angola notamment qui sont particulièrement avancés dans le domaine des nouvelles technologies donc quels sont les retours d'expérience que vous pourriez effectués sur la façon dont le cloud est traité dans ces zones là et particulièrement au sein des services financiers on joue à plat merci beaucoup merci à guy confiance les drones if you do pilot mais je suis le responsable informatique pour un togo aujourd'hui les entités africaines ne regarde pas le club compéti aujourd'hui au togo je vais essayer de parler des taureaux après on va aller les pays lusophones déjà qu'est ce que les banques veulent aujourd'hui c'est la rentabilité la disponibilité et tout ça a un coût moyen à dire investir le et gagner beaucoup aujourd'hui les datacenters le [Musique] spectateur qui consomme m plat les serveurs donc aujourd'hui par rapport au corps pour qu'on piétine en afrique comme vous le savez nous avons déjà des très compliqué qu'il découvre une vie qui n'est pas assez évoluée c'est aujourd'hui que nous avons la disponibilité des liaisons de fibres peu partout en afrique ce qui poussait les bacs aujourd'hui à penser à st analyser les cerner comment monsieur ahmed madi on a les efface complet finaliser les applications les communications ont pénalisé mais tout ça tourne autour de la sécurité et nous les décisions financières nous avons un peu ce côté philippe de la sécurité des données de nos clients dans les banques aujourd'hui en afrique ce sujet à discuter avec le régulateur le régulateur comme vous le savez celui qui réglemente tout ce qu'on fait passe dans certains pays tu peux pas voir les données des clients par exemple dans notre pays donc ça c'est un frein à l'évolution de nos activités surtout vers le cloud et on va déjà voir avec le régulateur pour peaufiner ce texte a fait d'avancer un peu plus rapidement sur ce projet sinon aujourd'hui dans le secteur financier en afrique tout le monde doit aller vers le large tout le monde veut avoir la disponibilité à 100 % ou plus ou moins 99 4 % en afrique avec le plant si nous prenons par exemple les dépôts les pays lusophones déjà à sao tomé qui est un petit plus d'environ 200000 habitants tout est importé du portugal la technologie est avancé sont pas au courant des boisés niveau parade welmant en angola où le niveau est très très élevé si on peut comparer l'angola on peut comparer au portugal surtout il avait avancé les avancées des choristes viennent de là et le croquant poutine dans ce pays est vraiment poussé les textes qui sont en vigueur le niveau peuvent leur permettre d'aller directement sur le club comparé aux pays de l'afrique de l'ouest comme le dit la fille centrale où c'est quasiment impossible destine alizés les données des clients dans les plantes donc au tous ces facteurs font que aujourd'hui en afrique surtout en afrique de l'ouest et en afrique centrale externaliser ses services surtout bancaires des données personnelles de nos clients est un frein par rapport à la réglementation donc en gros niveau technologique qui nous sont présents mais reste le niveau régulateur pour nous permettre d'externaliser un peu les données compte tenu des textes en vigueur dans les différents pays merci andré très bien merci monsieur olympio pour pour cet éclairage dont on retiendra effectivement que le club est déjà une réalité dans certaines zones du continent africain et il ya bien évidemment une ligne tout a donné du côté de la réglementation pour avancer un petit peu dans la structuration qui j'ose dire des modèles alors une question peut être un petit peu plus prospective maintenant que j'aimerais adresser à monsieur bambi bonne donc monsieur olympio a dressé un panorama de ce qui est fait d'un point de vue opérationnel au niveau du cloud dans différentes différentes zones de l'africa j'aimerais m'adresser à vous monsieur ben oui bonne pour avoir un petit peu votre regard sur les opportunités que vous identifier à date dans le domaine du cloud pour développer l'univers de l'est non en afrique alors il faudrait activer votre micro celles auxquelles monsieur dans vbl merci pardon la divison donc ce que je vais aborder comme accord sur le cloud de haut niveau de la direction de la communauté de communes monts et l instruction travail pendant ce qui se fait vous devez savoir que nous avons un un régulateur de que les régulateurs c'est la cobac alors pour toute activité aujourd'hui la majorité des parts présentes en exemple congo on est partenaires étrangers donc ce sont des filiales nous avons une seule banque qui est la banque nationale et la banque nationale la banque postale donc la majorité de la technologie utilisant nous l'utilisons en commutation avec l'eau bout mais entre la réglementation et la technologie il ya un bon appel le déphasage en afrique centrale il est interdit d' expertiser les données alors que nous avons la majorité des banques qui ont décidé à les y travaillent sous sas à 50% et super forcément qu'on saura aussi donc c'est vrai c'est à dire nous essayons tous de jongler entre la réglementation et la technologie ça nous coûte moins cher d'utiliser le cloud parce que tout est fait par les autres ont été externalisées et ici notamment sur la sécurité nous sommes très très frileux comme me le dire mon collègue que voilà nous sommes très très frileux concernant la sécurité donc la sécu d'essayer le cheval de bataille de toutes les banques on ne peut rien faire si rien ne s'était mise donc la première des choses on se compare pas comité de direction losc ya une nouvelle technologie pour vous apporter vous souhaitez travailler avec eux un partenaire étranger on vous demande simplement la sécurité est ce que la sécurité veut donc au jour d'aujourd'hui concernant le en termes de coût financier c'est très avantageux que les banques de travailler ce club c'est très avantagés également pour tout ce qui est reparti pour tout ce qui est l'immédiateté des informations celui de l'information c'est très avantagé pour nous c'est très avantageux également prouvé ou mais précisément parce que vous n'avez pas besoin d'investissements de location et des locations des loyers à payer aux partenaires avec lesquels il travaille donc ça c'est la réalité de la santé merci monsieur pour cet éclairage alors je reviens sur un mot clé que vous avez cités dans votre réponse c'est la sécurité et c'est vrai que sur le sujet du club comme sur d'autres sujets qui sont emblématiques de l'évolution du secteur financier la sécurité et rebelles de plus en plus un caractère systémique sur ce point comme on observe au sein de l'écosystème européen on voit qu'il ya des questions d'ordre systémique qui se posent de plus en plus sur le sujet du cloud notamment d'un point de vue géopolitique puisqu'on a vu lui en europe des débats et des efforts pour la création d'un club européen du coup j'aimerais battre m'adresser maintenant à monsieur kabango mbuyi pour avoir un petit peu votre analyse des enjeux géopolitiques et systémique du cloud est justement quelle est la particularité si j'ose dire du débat sur le cloud au sein du continent africain est ce qu'on voit également 7,7 problématiques d'ordre géopolitique se positionner dans cette zone du monde où est ce que c'est vraiment une spécificité européenne merci beaucoup pour vos questions donc on la question du club [Musique] c'est une spécificité n'est ce pas l'europe mais en même temps comme on nous sommes dans la mondialisation dont l'afrique n'est pas écartée dans cette logique là tout simplement parce qu'il s'est posé à une problématique n'est ce pas d'emprise est dédé donc il ya les données personnelles par exemple les utilisateurs américains des distillateurs européens par exemple qui sont disponibles dans les clubs américains et que par rapport à celles en les renseignements américains que la demande at leur demande à obtenir les informations relatives aux données personnelles n'est ce pas de ressortissants en europe c'est la pose des problématiques des consciences confidentialité des problématiques de sécurité et de problématiques liées n'est ce pas à un règlement général sur la protection des données personnelles des consommateurs voilà pourquoi n'est ce pas treize pays européens les 13es banques européennes se sont réunis pour réfléchir sur la possibilité [Musique] européen et cette réflexion là va s'étrangle n'est ce pas dans le mode analogique que le projet d'iam x 10 6 il faudra contextualise les contextualiser ça en afrique il faudra noter que l'afrique espère également les données et que par ailleurs en exploitant les données nous devons être compétitifs à dieu nous avons pas regarder devant nous des citoyens européens n'est ce pas qui vient ouvrir des comptes en afrique et cela se traduit comment ça ne te par l'ouverture des comptes comme il s'agit des trans nationaux dont il rapporte des cimes celui des ressources et maintenant comme les règlements européens c'est règlement extra territoriale ça veut dire que d'une part les banques africaines sont également sont également assujettis n'est ce pas à au fait qu' elles doivent respecter n'est ce pas le règlement sur la protection du consommateur dans du coup or si elle ne respecte pas du coup dur à une fuite des capitaux il y aura un problème un problème sur les ressources stables parce que je les transmets les transnationaux apporte plus les responsables aux banques et aux opérateurs de parts de marché pour ces entreprises là qui d'une part on décline ils viennent de l'étranger d'accord très bien merci monsieur pour pour cet éclairage alors toujours sur le sujet du clad en tant qu'enjeu de globalisation des services financiers et puis plus spécifiquement de globalisation des données j'aimerais vous interrogez monsieur iraqi sur la place des acteurs africains dans le domaine du cloud à l'échelle globale et plus spécifiquement comment est ce que l'afrique peut tirer parti de ces évolutions technologiques oui en fait avant de répondre à cette question offensif on dit il faut distinguer les différents types d'acteurs du cloud parce qu'il ya plusieurs types d'acteurs le premier type d'acteurs ce sont en fait les acteurs de cloud privé et hybride plutôt dans le datacenter plus touchées les directement chez les banques ou chez les entreprises le marché concerne essentiellement les fournisseurs d'infrastructures haïti est donc chez del technologies'' par exemple nous avons accompagné pas mal de banque au maroc et en afrique à mettre en place des infrastructures modernes adaptés aux modèles opérationnels du cloud ces infrastructures sont en général de type convergent dans les hyper convergente avec des solutions complètes logiciel qu'on appelle des spas cloud notamment avec notre partenaire vmware et sa solution vmware club foundation qui donne la même expérience en fait consistante en termes de gestion haïti qu'on soit dans son datacenter ou qu'on soit les un service provider le deuxième type d'acteur eux c'est ce qu'on appelle les hypers skyler ou acteurs de cloud public donc ce sont sur amazon web services microsoft azuré google cloud pour le moment en afrique uniquement à la zone web services et raison il a une région en afrique du sud une seule région et quand on part dans le cloud public ceci oblige les clients à sortir les données lors datacenter souvent de leur pays d'origine pour les hébergés dans le cloud provider public de type hyper thriller et finalement il ya un troisième type d'acteur plutôt intermédiaire donc ce sont des services provider donc en général des opérateurs télécoms locaux au pays ça peut être même des institutions publiques ou des banques centrales par exemple qui vont héberger des services cloud pour leurs clients l'intérêt ici c'est que ces acteurs comme je les dis peuvent être des acteurs locaux et donc adaptés aux clients qui veulent un cloud public qui veulent pouvoir sortir laird leurs données mais au sein du même pays on parle là de la souveraineté de la donner ce genre d'acteur qu'on voit le plus en afrique on va bien sûr beaucoup de cloud privé donc notamment nous on n'entend pas nos clients et pour les clouds publics on voit surtout ce genre d'acteur donc des services provider des opérateurs télécoms et fois certaines universités aussi qui offre des services cloud de type hpc high performance computing pour d'autres universités ou pour des institutions ou des institutions publiques en fait qui offre des services d'hébergement des services de signature électronique des choses comme ça pour des banques ou d'autres instituts et donc finalement pour pour pour tirer en fait partie des évolutions du cloud et je pense que monsieur olympio lille on en a déjà parlé en afrique il faut mettre en place un partenariat entre les pays africains de la même manière que les européens s'organisent et de la même manière qu'il ya des partenariats économiques et des échanges de marchandises en afrique on pourrait avoir des partenariats sur la donner avec une réglementation par exemple des accords de mutualisation de dates de data center pour les services cloud et donc ceci permettra d'avoir un modèle économique plus intéressant et permettra de voir dans le futur plus des investissements en afrique de la part des acteurs du cloud car le marché va devenir plus important parce qu'il va concerner plus de pays voilà un petit peu ce que ce que j'avais à dire essentiellement en afrique ce qu'on voit c'est le cloud privé ça c'est la majorité des projets et puis le cloud public pas pour pas trop chez les hypers skyler mais plutôt chez les opérateurs télécoms chez certaines administrations publiques voire même des banques centrales voilà j'avais à dire sur le sujet d'accord merci monsieur iraqi donc on retiendra un nouveau mot clé celui de partenariat et cette logique en fait à mettre en place cette logique de co création de collaboration autour du cloud en afrique ça me permet d'évoluer vers une autre question c'est la question de la coopération multisectorielle en afrique sur ce sujet on le voit à l'une des spécificités du secteur financier africain et la présence d'acteurs connexes et leur importance pour l'évolution de l'écosystème je pense par exemple aux sociétés télécoms ou encore à l'administration publique il ya également un rôle à jouer dans le développement des services financiers est également dans l'inclusion financière et numérique en afrique et du coup j'aimerais me tourner vers vous monsieur olympio pour avoir un petit peu votre ressenti sur la forme de coopération multisectorielle à mettre en place pour développer le cloud en afrique quel est votre regard et éventuellement vos recommandations pour évoluer info qu un peu plus dans le sens d'une co création merci landry pour cette coopération moi j'aime vraiment ce point a dit à ce niveau c'est que le gouvernement doit voir position est claire sur la stratégie adoptée aujourd'hui en afrique comme monsieur irak il a dix rameurs nous avons l'écran privée et nous avons aussi les coques public dans le pays comme les services des opérateurs un opérateur qui a un cadeau aujourd'hui dans le pays et qui propose d'héberger vous que vous pourrez déposer vos dons de donner une chimie déjà là la réglementation n'a pas encore bloqués sur ce côté parce que c'est dans le pays donc pour la coopération côté telle coordination c'est un partenariat qui sont en temps de faire parce que le pays a des ressources et le gouvenement accompagne les acteurs du pays héberger nos données ailleurs ou hébergé nous donner dans le même pays c'est toujours du club compétitif il en avait déjà parlé dans un cadre privé un cadre public avec lady killer dup qui sont ailleurs ou 1/4 public entre griffe dans le pays donc ce qui veut dire que côté tel cours avec le gouvernement il ya un partenaire qui est en train de se faire externaliser c'est ça le problème nous voyons aujourd'hui un peu partout la petite technologies au niveau de la télécommunication déjà les la plupart des pays sont si la 4g bientôt on sera sur la scène j'ai déjà donc aux côtés telco l'avancé et rapide les dates à cet assaut disponibles le niveau de collectivité au signal est assez stable donc ce côté de coopération entre les deux multi sectoriels ou vainement les telcos l'un des acteurs qui sont lexie je crois que on est à un niveau très avancé mais comme je viens de le dire il faut une politique très claire du gouvenement ou accompagnent tout ce beau monde d'accord ce regnault le gouvernement a en effet un rôle décisif à jouer pour renforcer finalement c'est cette logique de coopération et je retiens également sur des éléments vous avez cioni d'un point de vue évolutions technologiques les datacenter l'évolution vers la singer ça me permet d'évoluer vers la dernière partie du débat qui est un peu plus consacré à la prospective donc on va essayer de se projeter un peu vers l'avenir avec une question adressée à monsieur irak et sur les prochaines tendances technologiques que vous identifier dans le domaine du cloud dans les trois à cinq ans et particulièrement au sein du continent africain bien évidemment oui en fait en fait ces dernières années donc ce qu'on a vu c'est effectivement des services essentiellement en cloud privé plutôt qui tourne autour de services classiques d'infrastructures c'est à dire juste consommer et ressources de calcul de réseau ou de stockage dans le cloud dont les prochaines années ce qu'on va voir et on commence à le voir déjà en europe et aux états unis c'est l'émergence de nouveaux types de services cloud autour de la donne est donc la donne et va être centrales notamment tout ce qui concerne l'intelligence artificielle et la machine learning donc on pourra consommer en fait des api ou des services de machine learning directement dans le cloud alors les domaines d'application sont nombreux ça peut être la reconnaissance d'image l'analyse de texte je peux donner un exemple par exemple on appelle le sentiment analysis on va analyser des emails de clients par exemple des banques pour savoir si les emails sont plutôt négatifs et des traités en priorité les services clients on voit aussi l'utilisation parlant du data analytics dans le cloud pour la gestion du risque la prise de décision notamment pour le crédit la détection de fraude aussi ça c'est quelque chose de très important dans le milieu financier surtout les fraudes à la carte bancaire et aussi on voit aussi l'utilisation du machine learning pour les services de recommandation c'est à dire proposer des services financiers les plus adaptées aux clients en fonction de ses usages passé on voit aussi l'utilisation de la blood chain il faut savoir que maintenant il ya des services cloud blocs chaînes qui sont disponibles directement dans le cloud qui disait dans les salons les financiers et les smart contracte et puis finalement on voit finalement de la modernisation applicatifs plus en plus d'applications bancaires même les applications les plus critiques comme l'eau le core banking ou la monétique utilisent de plus en plus ce qu'on appelle des micros service et donc en termes d'infrastructures ce qu'on appelle des containers en remplacement des machines virtuelles est une des technologies phares dans ce secteur s'appelle qu'hubert netease sources et permet l'orchestration des containers et leur automatisation et leur provisionning on peut avoir ces technologies dans son propre datacenter et donc nous nous avons raccompagné pas mal de clients dans ce sens là et on peut avoir aussi cette technologie dont le cloud finalement concernant le stockage on voit de plus en plus un shift vers ce qu'on appelle le stockage non structurées c'est à dire plutôt des objets des fichiers donc c'est là où il ya plus grosse croissance donc ça peut être des images ça fait des vidéos du texte ça peut être des pdf par exemple des relevés bancaires des pdf des scans de chèques des fois des positions gps par exemple pour les les transactions là où s'est passée la transaction sur le stockage c'est plutôt les données non structurées qui explose dans le club essentiellement ce que j'ai à dire c'est à dire que ces dernières années on a consommé des services plutôt d'infrastructures classique 1 c'est comme avoir des serveurs du réseau du stockage dans le cloud qu'on va avoir ce sont des services un petit peu plus évolué autour de la donnée autour de l'intelligence artificielle et autour des applications de cette intelligence artificielle voilà un petit peu ce que j'avais à dire sur sur les tendances mais à qui monsieur kabongo mbuyi vous avez levé la main vous avez quelque chose à ajouter sur ce point peut-être oui alors merci beaucoup donc je veux qu'en mer et venir contexte particulier en afrique en paix n'est ce pas un lien avec la prospective sur comment se déroule n'est ce pas et puis comment se déroule n'est ce pas le code en europe et comment dans les prochains mois années le développement du club ces rames ainsi qu ici je vais jamais réveillée sur deux points essentiels [Musique] notamment qui touchera oubliez n'est ce pas aux réticences les cas aujourd'hui en afrique on va dire la tendance actuelle c'est que nous avançons à pas de club privé pourquoi parce que les banques peuvent être bien avoir leur propre datacenter où elles vont avoir un espace de contrôle mais il se pose un problème pour que les domaines du club puis s'est démocratisée alors donc il faudra quand même que nous puissions et l'afrique qui est des entreprises puissent plus y regarder nombre de choses notamment nous avons les risques et commercial nous avons les risques premières ce qui est important à analyser aujourd'hui les banques se disent voilà l'homme comme moi je vais aller super un club d'un public qui s'est passé at il si l'opérateur de pause les bilans 6 par an qui change des conditions tarifaires passe quel sera l'impact sur mon chiffre d'affaires de l'oplb ou encore si l'opérateur change des clauses d réversibilité du contrat donc la possibilité que lorsque le contrat arrive à terme que la banque puisse reprendre ses données à l'ancien et notamment nous avons de plus en plus l'implication par exemple des clients dans des décisions pendant de la banque notamment à travers ce qu'on appelle les règlements sur les rivages de main sur la protection de données des consommateurs aujourd'hui pour pas mal de sujets on oublie jeunesse pas dd mono client de demander l'avis béquilles aujourd'hui on se pose des questions si jamais on dément en informer au payant questionner va être logée dans un club qu'elle ferrée par exemple là la réponse de clients on peut avoir et j'ai bien entendu ou encore on peut avoir une réponse positive donc que l'apéro niveau de diriger un autre les membres c'est la perte du pouvoir et d'emploi aujourd'hui nous allons aller sur le cloud public ou encore on commence par le club privé mais aujourd'hui on ne sait pas réellement quel serait l'impact sur en planque et on sait que les gens qui sont précaires on sait que l'emploi est difficile de la voir donc est ce que la production informatique disent pas qui est l'activité principale aujourd'hui des défis est ce que cette activité l'année sera pas réduite à néant donc c'est quand même des questions essentielles sur lequel il faudra clarifier alors un autre problème c'est un problème qui touche globalement l'afrique c'est la dépendance des réseaux quand j'ai dit la dépendance des réseaux ce n'est pas vraiment que nous sommes dépendants on sait que c'est naturel des réseaux informatiques compagnie club mais ce que je veux inciter plutôt le fait que par rapport à cette problématique là nous avons des problèmes en afrique stabilité des réseaux aujourd'hui qu'on parle de cloud on dit il faudra une forte disponibilité dont ces liens dans nombre de pays en afrique il ya encore un problème en du passage de la mutation vers la 4g la scène j'ai ou encore de l'internet haut débit donc ce sont des prairies qui son essence et qui doivent être mises en place en amont avant que nous puissions commencer à développer ces clans de à l'échelle africaine merci merci monsieur kabongo m boyer pour cet éclairage sur les difficultés aux obstacles qui subsistent sur le cloud en afrique j'aimerais maintenant qu'on se penche un petit peu plus sur un sujet qui est si j'ose dire inhérents à certaines régions du monde dont l'afrique mais pas seulement puisque l'amérique latine il travaille également c'est la problématique d'inclusion financière et d'inclusion numérique et j'aimerais sur ceux pouvant avoir votre regard monsieur bambi bonne sur les apport substantiel que le club ne pourrait constituer justement dans le domaine de l'inclusion financière et numériques au sein du continent africain bon vous savez le problème de plat aujourd'hui sur l'inclusion financière et les le problème il est vraiment majeur c'est ici c'est aujourd'hui vous savez le taux de bancarisation en afrique centrale et au loto de 10 et 12% donc au congo brazzaville le taux est de 10 % donc imaginé une population de le 5 millions dont 3 millions d'actifs vous n'avez que 10% de la population qui est bon car is et donc la majorité des fonctionnaires lesquels l'annonciation public à ce qu il faut d un salaire parce qu'il faut faire des transactions financières mais la majorité de la population est laissé dans ce qu'on appelle la zone informer la population le bénéficient pas des avantages de la vente la population ne participent à l'économie formelle telle qu'on leur donne ce que mes tadic ou même lorsqu'on calcule le pnb du congo brazzaville lorsqu'on compare les activités informant et les activités formelles tout est faux c'est donc aujourd'hui avec l'apport du yucca les télécoms les banques s'associent ils s'associent sur les nouvelles activités qu'on appelle tous nous les banques au digital donc les banquiers tablent aujourd'hui on donne la possibilité à ceux qui n'ont pas les moyens de d'avoir un compte bancaire d'avoir un compte bancaire virtuel la difficulté n'est plus la même comme avant qu'il faut ramener de la paperasse qu'on vous demande une pièce d'identité un justificatif de domicile injuste relatif de revenus a scotché nous tous qui vont marcher mais c'est encore enregistrés ne sont pas enregistrées au sein de la commune donc ce qui vous a dit que les revenus fait par la population dans les artistes informel n'est pas considéré aujourd'hui avec le développement du plat on les amène à intégrer les banques digitale afin de faire les transactions depuis leur mobile donc la tendance aussi en afrique centrale et au congo c'est chaque banque créée à six a maintenant sa banque digital donc via le téléphone au moins par le téléphone c'est plus le 110 % de couverture les autres le sont 10 % de clients donc on un client à au moins deux opérateurs de les utiliser c'est pas comme en france ou si vous avez sfr vous oui mais chez nous s'il ya deux opérateurs vous êtes obligés d'avoir de ce fait pas froid parce que parfois il ya un qui marche et l'autre ne marche pas parce que vous avez des interférences de réseau vous avez des compliqueront coupures de réseau aujourd'hui dans l'inclusion financière ce qu'on fait à travers l'utilisation du cloud et le développement des ventes digitales la population ramène maintenant l'activité économique était dite informés vers le formel nous avons d'ailleurs assisté à la publication du régulateur de deux opérateurs de téléphonie mobile qui est qui qui qui a publié sur son site internet que cette année enfin les six derniers mois à cause du coc vide puisque on a changé les moyens de paiement aux commandes nous avons atteint 23 milliards de francs cfa d'utilisation via la téléphonie mobile via le paiement mobile via les banques digital donc ce qu'ils avaient à dire que l'inclusion financière en utilisant le cloud aujourd'hui nous avons tendance à désorganiser ce qui est un bon gars ise a emmené ceux qui sont dans l'informel vers le formel et faire de sorte que l'on puisse beaucoup plus utilisés l'économie informelle vers les colonies formel c'est ça et à travers cela aujourd'hui nous avons des partenariats tels que no more que les banques nous avons des partenariats avec les opérateurs de téléphonie mobile donc je vais te dire que les transactions faites par des téléphones peuvent aussi peuvent aussi se faire dans les applications des banques classiques parce que chaque banque classique a maintenant activement son application ce livre est à dire que nous sommes déjà en partenariat comme disait monsieur chirac est tout à l'heure que aujourd'hui nous nous privilégions les partenariats donc les transactions faites chez nous peuvent aller chez les opérateurs et comme vous avez les opérateurs de téléphonie mobile leur travail c'est pas de donner de l'argent aux uns aux autres avec la disponibilité et du cash mais nous avons la dispute du cash et eux ils ont la technologie qu'on appelle du cesti facile à utiliser ou que les clients lorsqu'ils n'ont pas la possibilité d'avoir le cas chez l'opérateur en téléphonie mobile ils viennent à la banque point de l'argent via l'utilisation de l'ue et s'estime donc ça ce sont des cas concrets qui font qu'ils qui explique également que l'inclusion financière se fait également par ce genre de partenariat et via l'utilisation du cloud sur l'utilisation des données maintenant nous avons toujours un problème avec la réglementation comme on dit toujours la technologie nous venons plus vite que la réglementation il faut toujours faire beaucoup au régulateur leur expliquer afin qu'ils adaptent le règlement par rapport à l'utilisation actuelle des choses oui tout à fait et ce vecteur en fait la réglementation qui suis en quelque sorte les innovations 5 s'applique non seulement à l'afrique mais également à d'autres régions du monde comme l'europe où on a aussi des activités qui fleurissent et puis ensuite une réglementation qui vient encadrer l'activité merci beaucoup monsieur dans bebon pour cet éclairage je crois que monsieur une kabongo mbuyi vous souhaitiez réagir vous avez levé la main nous vous écoutons ok c'est beaucoup dire encore revenir sur ce sujet merci donc pour l'intervention de jean de monts les montres des battants donc je veux qu'en mer est venue ce qu'il a dit qui est sensé qui est la consommation digitale aujourd'hui c'est quand même ses gamins on a une réalité à nancy que les banques veulent n'est ce pas aller de la transmission digital pour améliorer son appel l'expérience qui est elle maintenant ce qui est plus important par rapport au plan que les liens claude c'est les tomates est donc aujourd'hui avec les take out ça sera plus facile par exemple il ya des banques qui voudraient s'installer dans un autre pays des install de mettre en place les services bancaires rapidement plutôt que lorsqu'il faudra pas non plus un seul et ça va sur place c'est quand même un élément très important maintenant quel impact sur l'inclusion financière c'est que lorsqu'on met en place les clubs ça va permettre à savoir faciliter ce que je vais dire l'interopérabilité aujourd'hui nous avons nous avons en grèce gimat par exemple insisté opérabilité mais également ça peut être ça peut être ça peut être également fait par les opérateurs les opérateurs privés nous avons aujourd'hui des services des services de monnaie électronique qui sont disponibles mais entre les régions nous avons un problème n'est ce pas d'interopérabilité d'encore je ne pouvais pas par exemple à faire des transactions des monnaies les tenues entre la région de ses marques la région la région par exemple donc à travers le club on peut facilement arriver l'espoir à cette interpellation ni té des régions et par ricochet n'est ce pas la prison financière de l'afrique et notamment que je voulais rajouter si vous me permettez alors c'est quand même un avantage que les claude va apporter nous pas dans l'acte i dont un financier c'est la réduction des coûts liés aux infrastructures aujourd'hui les directions financières ont vraiment des difficultés à pouvoir ne soit clôturée lanières des résultats positifs maintenant grâce au cloud doit quand même un gain en termes de réduction sensible que les banques peuvent alors nous avons un autre élément qui touche sur la mer sécurité garantie en matière d'intégration de l'intégrité des lobbys aujourd'hui les banques veulent faire faire 60 déjà dans une logique maintenant place au club prisé mais cela n'est pas vraiment leur activité principale de la narrativité principe assez de se focaliser sur sur la banque donc en allant sur les clouds publics laisse prendre nous allons nous savons que nous avons des comptes à 2000m ainsi ses comptes et de la santé ça permettra aux banques d'avoir une meilleure qualité en terme d'activité et donner une meilleure qualité en termes de réductions du détecteur de qualité des données qui sont fournis aux opinions alors un dernier élément c'est que c'est l'impasse c'est le lien entre le cloud ainsi que ainsi que le sii aujourd'hui on sait que les six travaillent sur la production des systèmes d'information tout ce qui est travail rébarbatif n'est ce pas à la banque mais également à aux évolutions technologiques futures notamment la consommation digitale dont on sait que les des métiers prennent vraiment beaucoup de temps et si seulement les haïti n'est ce pas est finalisé ce qu'on appelle les clubs de commodité ou les services informatiques des commandites et donc les services faciles à analyser tectum le marketing d'un grand plat temple ne sert donc commercial donc il va laisser il va donc il y aura beaucoup de temps n'est ce pas que l'informatique va pouvoir capitaliser pour réfléchir sur les nouvelles applications sur l'urbanisation des systèmes d'information donc travailler à rationaliser les sondeurs formation pour les pérenniser améliorer sa méthode 121 mobilité ainsi que son agilité merci merci monsieur kabongo mpi pour cet éclairage et j'aimerais qu'on termine cette phase de débat entre nous avant de laisser la parole aux participants avec une question phare on voit aujourd'hui si on se place du côté du consommateur final qu'on a énormément d'évolution qu'elles soient technologiques ou encore réglementaire du côté des institutions financières et des services financiers aux gens en général donc à une question phare qui s'imposent et que j'aimerais adresser à monsieur olympio s'est finalement comment accompagner le consommateur africain dans toutes ces évolutions comment effectuer de la pédagogie à son intention pour le familiariser avec les évolutions liées au cloud est ce que c'est quelque chose que vous avez déjà mis en place au sein de l'entité financière que vous représentez et qu'elle serait plus spécifiquement les recommandations que vous aurez à formuler pour assurer que le consommateur africain soit bien intégré à toutes ces évolutions merci andré avance au point pour accompagner les consommateurs il ya le problème de sensibilisation aujourd'hui côté films en écopant comme je peux dire nous faisons beaucoup de sensibilisation sur tout ce qu'on a les produits digitaux tout ce qui entre dans la technologie et c'est ça qui peut rassurer le consommateur aujourd'hui tous les consommateurs 4 ils veulent ils veulent comme produits soient disponibles en temps réel il veut pas de problème quand je veux faire un transfert par exemple je veux pas passer parmi les moyens aventure un transfert leur faciliter le process et leur montrer comment le processus passe sans toutefois perdre beaucoup de temps dans notre métier aujourd'hui il ya des projets qui sortent et notre premier métier c'est la sensibilisation niveau sensibilisation tout ce qui sort aujourd'hui tu être mis sur le marché mettre les moyens à disposition de tous les acteurs tous les consommateurs pour avoir ce produit disponible et en temps réel et pas trop de complications c'est comme tu fais des oiseaux ce qui n'est pas un souci aujourd'hui peut faire du voisin donc aujourd'hui si vous voulez accompagner les consommateurs c'est de leur mettre un produit très simple simplifiée pas beaucoup de choses mais sécurisée parce que au-delà de la sensibilisation il faut la sécurité les consommateurs tant que tu ai dit ce produit marche et je n'avais pas perdre de l'argent ou même si c'est coûteux le consommateur va s'y sont produits parce que c'est la sécurité pompiers donc on y faut et comme back nous faisons beaucoup beaucoup beaucoup de sensibilisation parce que tu peux faire un transfert sur ton téléphone aujourd'hui le mouvement ni dans la sous-région scène c'est aujourd'hui ce sera serré c'est l'amour du tout le monde donc vous faire moralement ni tu n'as pas besoin d'aller dans beaucoup de paramètres donc il y à des proches ou ya tout ce qu'il y a des prospectus qui se passe partout pour faciliter la tâche pour faciliter le process nous accompagner tous les jours à opérer en toute simplicité facilité et avec une grande sécurité à ce nouveau don côté sensibilisation c'est la première des choses pour les consommateurs et surtout de les rassurer sur tout le process côté cycliques merci andré est tout à fait la sécurité la condition sinequanone de la pérennité du secteur financier donc secteur d'activité qui fonctionne sur une baisse de confiance donc effectivement la sécurité est également un élément à prendre en compte dans le contexte des évolutions technologiques qui caractérise notre marché merci à tous pour pour ce débat dont je vous propose de passer maintenant aux questions des participants et je vais tout d'abord me concentrer sur l'interface de questions réponses on a eu beaucoup de remarques et interrogations du côté des différents participants inscrits à cette session alors je vais prendre les questions par ordre chronologique et nous avons une première question d'un point de vue réglementation donc je vais vous les lire pour l'instant la réglementation de l'afrique centrale n'interdit pas l'utilisation du cloud donc il faut peut être chercher les raisons de la fel l'utilisation du cloud ailleurs pouvez vous nous citer le règlement qui l'interdît est ce que l'un d'entre vous souhaitent répondre à cette question moi je peux rejoindre la question parce que je suis directement concerné par cela la blc interdire ce que les données des clients soit hébergé ailleurs l'abbé acda jeunes nous nous avons aujourd'hui nous avons une recommandation une recommandation de la beia c'est d'abord centrale qui nous demandent à ce qu'on fait ça va partir des données des clients ici on locale alors donc je suis bien placé pour répondre à cette question très bien merci monsieur ben bieber est ce que l'un d'entre vous souhaitent ajouter un complément sur cette question d'ordre réglementaire bon très bien je vous propose de passer à la question suivante qui est directement liée aux derniers propos de monsieur olympio sur le sujet de la sécurité donc je vais vous la lyre étant donné que dans un modèle cloud de la sécurité la responsabilité du fournisseur partenaire technique comment rassurer les décideurs management des institutions financières africaines sur le fait que les données hébergées sur le cloud sont suffisamment sécurisés en conformité avec la réglementation et les standards qui souhaitent s'exprimer sur ce sujet alors j'avais de la juste une remarque en fait sur cette question oui tout d'abord la sécurité dans le cloud et les partager le monde du ressort à 100% du fournisseur est partagé entre le fournisseur et le client final si c'est une banque par exemple ce que le fournisseur va être responsable de bien sur la partie physique datacenter jusqu'à infrastructures mais tout ce qui est applications et c'est le client final qui va installer ses applications qui va être responsable de ces applications comment il va décrypter ce qui va l'écrire pas comment il va les sécuriser déjà la sécurité et les partager le client a une grosse part de sécurité et on a des mécanismes aussi de ce qu'on appelle de cloud hybride qui permettent d'avoir les mêmes types de sécurité que vous avez dans votre datacenter privés de les retrouver dans le cloud si vous faites par exemple de la micro segmentation si vous faites de l'analyse de flux entre les machines virtuelles toutes vos politiques de sécurité peuvent vous pouvez les garder en allant sur le club bien sûr le le fournisseur d'accès va être responsable de la sécurité physique ainsi quelqu'un rentre dans le datacenter c'est lui qui est responsable va être responsable aussi des serveurs etc et pour tout ce qui est logique les clients peuvent utiliser leur propre politique de sécurité qu'ils ont l'habitude d'utiliser dans leurs datacenters privé les appliquer dans le cloud et c'est ça qui fait que les solutions de cloud hybride en afrique sont les plus utilisés parce qu'elles permettent d'avoir cette consistance en ce que vous avez dans le privé vos règles de sécurité est ce que vous avez dans le cloud public non merci monsieur iraqi alors messieurs kabongo est mouillé vous souhaitiez également prendre la parole sur cette question nous vous écoutons hockey andrew pour élever ses problématiques liées n'est ce pas là la sécurité et de notre plus confiance aux décideurs surtout aucune on sait que devant ça c'est que nous devons au niveau n'est ce pas du vent comme on n'est pas regarder la gouvernance de l'entreprise on est encore au niveau du club pourquoi parce que l'on doit s'assurer sur la viabilité n'est ce pas dû des entreprises analyse en sport qu'on appelle les états financiers de l'entreprise qui pouvaient n'est ce pas nous garantit la pérennité nous avons car pour éviter comme je l'avais dit si sitôt que l'entreprise n'est pas acquis la banque à accomplir et données arrivent à déposer le bilan rapidement alors des aimants pour garantir n'est ce pas cette confiance nous avons nous avons également cette volonté ou encore cédé voix pour les opérateurs de cloud un défaut ni par exemple les attestations qui qui prouve que elles sont certifiées iso donc c'est toujours dans le prisme sécurité dont là donc ça sera plus facile pour une banque n'est ce pas d'être confortable que voilà donc les problématiques de sécurité sont mises en oeuvre n'est ce pas par le fait que l'opérateur club démontre un certificat iso pas rentrer dans cette unique un niçois sur la sécurité des données ou de la sécurité des systèmes d'information alors un autre élément c'est la réversibilité j'avais également parlé de ça donc ce sont des problématiques juridiques affectent donc voilà donc la relation parce que c'est une relation tunnel entre l'opérateur ainsi que la banque l'opérateur doit devoir faire un effort sur le fait que dans son contrat qui puisse intégrer n'est ce pas de clause de réversibilité donc si ces clauses sont intégrés ça va rassurer plus clients qui sont des sports bon peu ce que je veux dire merci merci beaucoup alors nous avons une autre question sur l'interface de questions réponses sur le cloud communautaire donc la personne fait d'avoir des informations sur ce type de cloud et surtout comment peut-on de l'utiliser dans le secteur financier est ce que l'un d'entre vous souhaitent prendre la parole sur ce sujet du cloud communautaire n'ont pas de remarque que spécifiques alors vous avez de nouveau levé la main monsieur kabongo mbuyi je vous écoute alors là j'ai activé ma fille j'ai activé alors donc on sait qu'il faut comprendre parce que j'aimerais d'abord révélé sur un sujet dont on entend parler son appel il faut comprendre que l'arrivée de claude a été favorisé par son appel intelligence collective l'intelligent qu'on utilise à des conduites par le digital native à dieu que la génération y et z cette nouvelle génération des techno averti des gens qui aiment utiliser la technologie et quels rôles maintenant delà des clubs et après c'est que aujourd'hui c'est qu'il faut comprendre c'est que l'intelligence collective n'est ce pas dans ces mondes là va permettre à ce que les banques n'est ce pas puisse notamment utilisé les données les données par exemple collecter des clients parce que cette client utilise beaucoup la technologie dont à laissant des traces par exemple dans les réseaux sociaux ont le pouvoir notamment par exemple dans le fait que les entreprises ont des comptes facebook pour permettre à ce que la communication puisse être relayée et puis suivi par de nombreux clients alors c'est que l'entreprise pourra faire parler claude communautaire c'est de pouvoir utiliser l'espace qu'on appelle la méta données qui n est ce pas qui est qui émanent en gigantesque c'est le métabolisme big data pour pouvoir faire déposséder des analyses et pouvoir n'est pas connaître les besoins des clients et proposer son appel des produits adaptés donc utilisé n'est ce pas ces temps c'est un peu à technologie là n'est ce pas dans la gestion prospective et proactive n'est ce pas de produits à développer pour le compte de tout ce que je voulais rajouter très bien merci est ce qu'il y à d'autres réponses sur le sujet du clair de communautaire est ce que l'un d'entre vous souhaitent également apporté des éléments de compréhension sur ce sujet a bien je vous propose de passer à la question suivante donc les données de marché africaines ne sont pas sous seing privé la plupart des données sont refacturés et les banques sont prises en otage exemple soudan la question est va-t-on voir le même risque de prise d'otage des fournisseurs de technologie ou va-t-on enfin pouvoir appliquer des responsabilités pénales aux personnes vendant des clouds publics et qui change les cgv chaque année est ce que l'un d'entre vous souhaitent s'exprimer sur ce sujet à connotation un peu plus réglementaire oui monsieur olympio l'écoutons merci à bréhat moi je dirais pour cette question peut tout le tour tout aux notes de contrat que vous faites avec le proverbe parce qu'à ce niveau c'est plus juridiques opérationnelles donc tout doit être bien peaufiné dans le contrat que vous avez avec votre revendeur de colonne sinon il peut pas un contrat ne peut pas être changé à chaque mois ou chaque année du jour au lendemain donc il faut vraiment un contrat de bienfaits revue par le service juridique corps et moins qu'on comptera huit années et pour éviter ces modifications de tous les jours parce que aujourd'hui un contrat qui est bien fait ne peut pas être modifiée du joueur demain vous pouvoir à être privatisées ou ou comment dire on va être plus de droits que vous dans le contrat comme on le disait avant tout à l'heure à la responsabilité à partager ou d'exécuter au niveau du bloc donc tout doit être bien écrit et là où on va on dégage des responsables de tout un chacun dans le contrat donc s'il ya un problème on peut point le contrat y voit là où ce système un responsable d'hôpital japon donc pour ce niveau je pense que il faut vraiment voir le contrat de départ et avec ça et on n'aura pas tout merci merci monsieur olympio et je vous propose d'enchaîner puisque la question suivante est également liée à la réglementation il ya beaucoup de demandes de clarification sur ce sujet là donc une personne qui participe à l'événement indique qu'aujourd'hui à sa connaissance aucune banque africaine avoir des solutions cloud puisque d'après lui la réglementation il interdit toujours et donc la personne souhaite avoir des clarifications sur ce sujet là est ce que l'un d'entre vous souhaitent s'exprimer monsieur iraqi allez-y oui en fait andreea je pense qu'il ya il ya une confusion en fait quand on parle de cloud j'ai cité tout à l'heure les types de cloud y en a trois donc privé public est plutôt intermédiaire chez les services provider quand on parle de cloud on pense toujours au cloud public hyper skyler les trois acteurs majeurs alors que alors que les deux autres formes de cloud sont très importants notamment le cloud cloud et donc énormément de banques utilisent cloud privé pas uniquement les banques à les banques les opérateurs télécoms ils sont publics parce que finalement ça permet d'avoir tous les avantages opérationnels du modèle cloud public mais au sein de son propre datacenter la facilité d'utilisation l'automatisation la réduction du time to market on commence même à voir même en termes d autres opex c'est à dire que les fournisseurs d'infrastructures commencent à mettre des machines en location dont les datacenter privé est consommé à usage tous ces modèles opérationnels de cloud public sont disponibles maintenant dont les cloud privé et donc sans utilisé par plusieurs entreprises africaines concernant maintenant les des gens qui veulent sortir leur donner il ya beaucoup de services provider dans les pays dont on a déjà parlé des opérateurs télécoms au sein du même pays qui soit hébert juste physiquement des infrastructures soi-même font ce qu'on appelle des services managés c'est à dire que offre des services cloud à des banques ou à des institutions donc il ya quand même une forte utilisation du cloud privé voire même du cloud hybride chez des services provider effectivement sur le cloud public c'est là qu'il ya le la confusion il ya un petit peu moins d'utilisation effectivement dans des secteurs aussi sensibles que les hommes le secteur banque d'accord très bien merci monsieur irak et monsieur olympio que vous souhaitez également vous s'est exprimé sur ce sujet nous oui je tiens juste à agiter aussi un point par rapport à la réglementation souvent la réglementation n'interdit pas il ya aucun test qui dit ah bon par exemple autoroute par exemple il n'y a pas de tests qui a dit formellement de ne pas être analysé les données sur le cloud privé mais la réglementation vous demande de signaler d'informer ou avoir l'autorisation avec la commission bancaire donc c'est ce processus qui est très long et on n'a jamais vu une banque a tiré gain de cause dans ce processus donc quand directeur national du oui la règle en quoi réglementation n'a pas formellement dit par exemple au togo comme je le dis il ya pas un test qui a dit non nationalisés pas vous donner mais on vous demande d'avoir des autorisations de signaler la voile au quai de la commission bancaire parce que la commission denquête c'est lui qui nous régit dans le pays dit donc le processus est très long et le moment personne a eu gain de cause dans dans cette bataille merci merci monsieur olympio pour cet éclairage alors nous

2021-07-02 20:37

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