NJABAR - Saison 1 - Episode 22 **VOSTFR**
Bonjour. - Bonjour. Tu vas bien ? - Je vais bien. - N'as-tu pas vu mes appels ? Je préfère rester là. - N'as-tu pas vu mes appels ? As-tu vu mes appels, oui ou non ? - Calme-toi. Réponds à ma question ! On ne t'a pas dit que je suis passée te voir deux fois ? - Allons à l'intérieur. Tu ne veux pas que les gens sachent ce que tu as fait ? Alou, tu es un vrai traitre ! Tu joues au saint alors qu'en réalité tu es un hypocrite.
Tu es pire qu'un meurtrier ! Comment as-tu osé me trahir ? Attends ! - Comment as-tu pu faire ça ? - Qu'est-ce que j'ai fait ? - Tu oses me le demander ? Comment as-tu pu raconter ce que je t'avais dit alors que je t'avais demandé de n'en parler à personne ? Cheikh m'a demandé de venir le voir, je sais que c'est par rapport à ce que je t'ai dit. Sois plus clair, je n'y comprends rien. - Tu sais très bien de quoi je parle ! Comment as-tu pu le dire aux autres ? - C'est normal, je voulais trouver une solution. - Je suis venu t'en parler pensant que tu pouvais m'aider. C'est normal que j'aille trouver solution ailleurs, si je n'en trouve pas.
Je l'ai juste dit à Amina. Pourquoi Amina ? Même si tu lui en parles, tu pouvais ne pas me citer. Personne ne voulait de notre relation, mais je me suis battue jusqu'au bout. Comment as-tu pu me trahir ? Si tu m'avais trompée avec quelqu'un d'autre, ça n'allait pas me faire mal, mais avec Banna, mon employée que je considérais comme ma propre sœur.
Quand tu venais au salon tu lui faisais les yeux doux. Alou, c'est mon employée. Laisse-moi t'expliquer. - Tu n'as rien à dire ! Tu penses pouvoir me donner des explications ? Qu'est-ce que tu as à dire ? Tu n'es qu'un égoïste ! Je t'ai toujours été fidèle. Je prenais tout sur moi et m'attaquais à quiconque qui osait te critiquer.
Alors que tu n'en valais pas la peine. Espèce de traitre ! - Tu es indiscret ! - Ne me le redis plus ! - Je devrais faire pire ! - Tu exagères ! Tu as de la chance, sinon je t'aurais cassé la gueule ! C'est dans ces moments que tu dois me prouver que tu es un vrai homme. Faisons-en notre problème et trouvons une solution, le coup est déjà parti ! Je ne peux plus rester dans cette maison. - Je n'y peux rien.
Tout est de ta faute. - Je n'y peux rien. Si tu ne fais pas attention à moi, Junior... - Laisse-moi parler. - Tu n'as rien à dire. Il n'y a pas de soucis. - Alou, ferme-la ! Qu'est-ce que tu as à dire ? N'oublie pas que tu es chez moi ! - Je n'en ai rien à faire ! Tu n'as absolument rien à dire ! Laisse-moi t'expliquer. - Fiche-moi la paix, éhonté que tu es.
Tu me trompes avec une fille qui habite dans le même quartier que nous ! Tu regretteras de m'avoir trahi ! Parce que je t'ai aimé sincèrement, sans rien attendre en retour. Tu ne m'as jamais rien offert. Tu regretteras ton acte ! - Ne t'emporte pas.
Tu verras les conséquences sous peu. Alou, tu vas regretter de m'avoir trahie. Tu n'es qu'un minable ! Regardez-la. Comme je viens de vous le dire, je veux retourner avec mon mari. C'est tout ce que je souhaite.
Sache que tu trouveras une solution. - Dieu merci. D'ici peu, tu récupéreras ton mari. Tout ce que ta co-épouse t'a fait retournera contre elle. Dieu merci.
Je suis prête à tout. Je sais pourquoi tu es là. L'homme avec qui tu sortais t'a trahie avec une fille qui t'es proche. Mes génies me l'ont montré. Le voici !
Je savais que Maï me mettrait en rapport avec un féticheur doué. C'est la raison pour laquelle je suis là. Sais-tu ce que je veux aujourd'hui ? Je veux que tu les sépares. - Je ne veux plus qu'ils soient ensemble. Je veux qu'il la déteste. - Je veux qu'ils se disputent tout le temps. C'est la raison pour laquelle je suis là.
Te rends-tu compte de ce que tu dis ? - Bien sûr que oui. - Mesures-tu les risques ? Je ferai en sorte qu'elle ne reste jamais longtemps dans un même endroit. - Voilà. Sa vie sera fichue, mais à une seule condition. - Tu dois faire ce que je te demande. - Je suis prête à prendre les risques, je veux que tu les sépares. Je veux qu'ils paient pour l'humiliation qu'ils m'ont faite. Avec tout ce que j'ai fait pour lui et Banna Je suis prête à tout te donner pour sauver mon mariage.
Je ne te demande pas de l'argent. Je te donnerai des talismans pour ta coépouse et ton mari. - D'accord. - Si tu le fais, tu seras la seule femme qui l'intéressera. - C'est tout ce que je veux. Qu'il m'obéisse ! - Je veux qu'il rompe avec elle. - Je peux le faire, mais il y'a des risques.
- Es-tu prête pour les prendre ? - Je suis prête à tout. - Si je le fais, il mourra. - Que Dieu m'en préserve ! Ah bon ? Tu dois personnellement enterrer ce que je te donnerai dans un cimetière auprès d'une nouvelle tombe. Tu parles d'un vrai cimetière ? Tu dois le faire près d'une tombe. - Je dois impérativement le faire ? Oui. Soit il va devenir fou, soit il sera emprisonné, soit il mourra.
- Que Dieu m'en préserve ! - La jeune fille ne restera plus sur place. Il va s'enfuir. Elle aura un cancer du cœur et elle en mourra. Ta conscience te permettrait-elle de le faire ? Il n'y a pas d'autres solutions ? Il n'y a pas de retour en arrière avec moi. - Je ne peux pas le faire. Je ne veux pas qu'il meure
Je veux juste qu'ils se séparent. Tu vas dans un cimetière. Je vais l'enfoncer dans l'œil d'un cadavre ! C'est donc probable qu'il meure. C'est à toi de choisir. - Ce n'est plus la peine alors. C'est bon ! - C'est ce que tu souhaites ? - C'est bon merci. Il y'a quelqu'un qui veut ta peau dans ton lieu de travail.
Elle est de teint noir et elle est élancée. - Ce n'est nulle autre que Didi. Je la connais très bien. Tu n'es pas venue pour ça. Il faut que tu te protèges.
Elle veut te jeter un sort pire que celui que tu veux jeter à ta coépouse. Elle veut que tu meures ou deviennes folle. - C'est ce que Didi veut faire ? Je vais lui régler son compte après, tout ce qui m'intéresse pour le moment, c'est de sauver mon mariage, je m'occuperai d'elle après. Je ne pourrai jamais faire ça. Je ne pourrai jamais tuer une personne. Je voulais juste te dire les risques, mais je savais que tu n'allais pas accepter, car tu es une femme exemplaire. Tu as juste dit ça parce que tu es fâchée. Tu as toujours eu satisfaction avec moi.
Moi aussi je crains Dieu. Je suis aussi un fervent croyant. Je n'oserai jamais tuer quelqu'un. - C'est toi qui feras les sacrifices. - Ce n'est plus la peine. - Ça retourne toujours contre toi. - Que Dieu nous en préserve. Ne te laisse pas guider par tes émotions. Rentre chez toi.
- C'est ce que je vais faire. - Tu vas prendre une bonne douche, faire tes ablutions et prier. Il n'aurait jamais dû faire ça. Ne pleure pas. - Tu es une bonne femme. - Ils m'ont trahie.
Après tout ce que j'ai fait pour eux, ils osent me faire ça. Ne pleure pas, une femme de grande taille ne devrait pas pleurer. Je suis Karamoko, je n'ai pas peur des représailles. - C'est vrai. Tu iras faire ce que je t'ai demandé dans les cimetières ? - Tu ne peux pas le faire pour moi ? - C'est à toi de le faire. Tu acceptes ou pas ? Comment Alou a-t-il pu tomber aussi bas ? Elle l'aimait d'un amour sincère, elle a tout fait pour lui, même pour moi son ami et ma femme. Elle a beaucoup fait pour nous.
Il ose la tromper avec son employée. Je ne pouvais pas faire autrement. Ouly est fâchée et si je ne l'avais pas dissuadée, elle allait voir un autre. Nous serions dans le pétrin, car ça pouvait détruire sa vie à jamais. Je ne sais plus où donner de la tête. C'est ce que dit le proverbe Wolof:
"les hommes sont tous pareils à l'exception de nos pères." - Tu es venu me tenir compagnie ? - Ne dis pas ça. C'est juste que tu es occupé ces temps-ci.
Tu as évolué ! Comme le dit un proverbe: " Chassez le naturel il revient au galop." Qu'est-ce qui se passe pour que vous soyez là ce dimanche ? Qu'est-ce qui se passe ? C'est à lui que tu devrais le demander. Il me fuit ces temps-ci. - Il ne reste jamais longtemps avec moi. - Ah bon ?
C'est le genre de personne qui lâche leurs amis d'enfance dès qu'elles deviennent riches. Tu ne devrais pas faire ça. Continue de parler. Et puis, je m'en fous. Il est méchant.
J'espère que ce que tu veux me dire est important. - Assieds-toi. Tu n'as pas cessé de m'appeler. Je t'avais promis de venir, donc il fallait prendre ton mal en patience.
Ce que je veux te dire est d'une importance capitale. Une information de taille. Arrête de tourner autour du pot et dis-moi ce qui se passe. Dis-moi ce qui se passe ! Je parie que tu m'as appelée juste pour que je te tiennes compagnie. C'est bien fait pour toi, puisque tu m'as laissé tomber à cause de ta co-épouse.
Je ne vais jamais courir après quelqu'un. Sois-en sûr. Arrête de te disputer. J'aurais compris que Codou Ndiaye me crois, mais tu me connais, tu sais bien que je ne crois en rien de ce que je dis.
Comment ça ma soeur ? Je ne t'ai pas appelée pour ça. Yacine, tu commences à m'énerver ! Depuis quand es-tu devenue emmerdante? Qu'est-ce que j'ai fait ? - Dis-moi ce qui se passe, je dois rentrer ! - Il faut parfois se socialiser. - C'est vrai. C'est pour avoir une ouverture d'esprit.
- Tu as raison. - J'en ai le droit. - Tu as raison. - Je t'avais donné 10000 F la dernière fois. - Je te les avais donnés pour le thé de la semaine. - Répète ce que tu viens de dire.
Répète. Tu lui as donné 10000 F ? Vous ne m'avez pas tout dit. - Est-ce bizarre que je lui donne 10 000. - C'est hilarant. - Je te comprends. - Qu'est-ce qui s'est passé ? - L'argent que tu m'as donné, je ne l'ai pas utilisé.
- Tu es en train de me faire chanter. - Devine. Qu'est-ce que tu vas penser, si je te parle de Alou et de Ouly ? Qu'est-ce que je dois deviner ? Je m'en fiche d'eux ! Il va l'épouser ? Je ne t'aurais pas convoquée pour te parler du mariage de Alou et Ouly. Tu commences à m'inquiéter. Alou et Ouly se sont séparés. Quoi ? Ah non ! Je ne peux pas le croire. C'est la meilleure des informations que tu m'ai donné.
- C'est pour cette raison que je t'ai appelée. - Il l'a quittée ? - Je ne pouvais pas le garder pour moi, il fallait que je te le dise. - Comment vas-tu ? - Je vais bien. Atou, c'est Raky qui m'a demandé de te donner ça. Portez-vous bien.
- Merci Atou. - Merci. Tu lui as donné 10 000 F ? Ce n'est pas le sujet. Éhonté ! Arrête de te comporter comme un gamin ! Atou, tu es un adulte et non un adolescent. Arrête de fréquenter Raky ! - Combien de fois dois-je te le dire ? - Ne m'insulte pas ! - Tu es éhonté, elle ne t'aime pas. C'est ce que tu crois. - Elle ne s'intéresse qu'à ton argent !
La ferme ! - Je n'ai pas encore terminé. Tu te rappelles cette fille polie qui travaille dans son salon, celle de teint clair qui m'avait fait la coiffure. - Celle un peu potelée. - Oui.
C'est elle qui sort avec Alou. - Quoi ? - C'est ce qui s'est passé. C'est la meilleure information. Il faut que tu me conduises chez la fille, ou que tu me donnes son numéro de téléphone.
- Il faut que je la félicite. - Pourquoi ? - Après tout ce qu'elle m'a fait au mariage. Elle savait qu'elle allait le regretter et ce n'est que le début. Vous vous êtes séparés, Raky et toi, il n'y a même pas une semaine. Tu es devenu chétif à force de souffrir de cette séparation. C'est juste qu'elle s'était fâchée, pendant tout ce temps, elle souffrait autant que moi.
C'est une de ses proches qui m'a dit qu'elle voulait se réconcilier avec moi sinon elle allait se suicider. Je n'allais pas la laisser mettre ses menaces à exécution. Même Dieu nous pardonne nos erreurs. Si je comprends bien, tu ne voulais pas avoir un cas de conscience. Tu as tout compris.
Il faut le faire revenir à la raison, c'est mieux. Atou, tu dois changer ! Je peux jurer qu'elle sort avec toi, juste pour ton argent. Tu mens et même si c'est le cas, je l'accepte ! - J'irai dans son salon. - Pourquoi ? - Tu ne sais pas ? Je ne t'ai pas demandé d'y aller et je ne vais pas t'accompagner.
Je n'irai nulle part et je n'assisterai pas à ça. La dernière fois, elle ne nous a pas frappées juste par respect pour Alou. Maintenant qu'ils ne sont plus ensemble, rien ne l'empêchera de riposter. J'irai dans son salon pour la narguer. Après ce qu'elle m'a fait, elle ne mérite que ça.
Tu sais bien que je suis capable de faire ça. Je suis prête à tout. Je m'en vais, je ne peux plus discuter avec vous. Tu ne changeras jamais.
Reste pour le petit-déjeuner. - Il est susceptible. C'est comme tu veux ! - Tu es mon ami, tu sais bien que Raky ne t'aime pas. Elle ne s'intéresse qu'à ton argent. Écoute-moi bien,
ce sont les autorités qui lui courent après. Attends... - Laisse-moi terminer. Je veux que tu me dises ce que tu lui as fait pour qu'elle revienne. Qu'est-ce que tu veux dire par là ? - Je ne suis pas un con. Quel est votre problème ? Je suis un homme comme les autres ! Pourquoi Raky ne m'aimerait-elle pas ? Tu es un homme, on n'en disconvient pas. - Quel est le problème ? Pensez-vous que je ne suis pas un homme ? Je n'en ai rien à faire ! D'accord alors. - L'essentiel c'est que notre amour soit réciproque.
- D'accord, on en reparlera. - Je m'en fiche ! - Ne la provoque pas. - Elle peut me frapper si elle veut. Je m'en fiche d'elle ! On t'appellera pour te dire de venir récupérer mon cadavre. - Je ne viendrai pas. - Tu es une peureuse. - Je ne viendrai pas, je ne veux pas qu'elle me tape aussi.
Je vais t'apporter quelque chose à boire. Bien fait pour elle ! Elle mérite bien ce qui lui arrive. Elle court après un homme pauvre. En plus, elle a dépensé toute sa fortune pour lui. Elle s'occupe bien de moi et vice versa. Je vais acheter du café à la boutique. Tu ne changeras jamais. - Qu'est-ce qui se passe ?
- Sors les croissants. - Soulève ma main comme si j'ai gagné. J'ai gagné. C'est ce que tu crois ? - Oui. - Allons déjeuner. - Tiens. Merci. - N'en fais pas une habitude. Vous vous croyez plus intelligents, vous les villageois.
Si tu continues d'être compliqué, tu risques d'avoir les hémorroïdes affectés. Mange. Pourquoi tu es triste ? - Qu'est-ce qui se passe encore ? - Ca va. C'est juste que tu m'avais manqué, car depuis lors on ne s'est pas vus.
En plus, je voulais qu'on parle de ce que tu m'avais proposé. Quelle est ta décision ? On ne peut plus revenir en arrière, mieux vaut continuer. Je pense que c'est la seule solution. Banna, je t'avais dit la dernière fois que tu ne dois pas laisser les gens gâcher ta vie, je n'accepterai pas qu'on me le fasse. Nous sommes tous pareils, on suit juste nos intérêts. Elle s'en est prise à moi, elle m'a traité de tous les noms.
Je n'ai pas riposté, car je la comprends. Tu es devenue plus belle. Sérieusement ? - Donne-moi ton secret. Allons à la maison, je te le dirai. J'utilise les ampoules de Diana Soft.
Sérieusement ? - Je te promets. - C'est ce qu'ils publient sur les réseaux sociaux ? - Oui. Elles sont les meilleures, il faut le mélanger avec ton lait de corps. Tu peux les trouver à Beauté exquise.
- Allons-y tout de suite, je vais en acheter. - Non. J'en ai encore acheté, je ne l'ai pas encore utilisé à cause des potins. Surtout de ce qui se passe entre Ouly et Banna et entre Mayeta et Yacine. Tu as pris la meilleure décision. Nous nous aimons,
nous devons vivre notre amour, nous ne faisons rien de méchant. Ils vont tourner la page d'ici peu. Chacun à ses propres soucis. On peut comprendre Ouly, elle avait foi en votre relation et elle a beaucoup fait pour ton voyage. Ouly a fait des efforts pour que je voyage ? Il faut que je l'éclaircisse.
Elle ne dira jamais qu'elle m'a donné un sou pour mon voyage. Je reconnais sa fidélité. Elle n'a rien fait concernant mon voyage.
Je voulais l'éclaircir. Tu me manques. - Tu me manques aussi. - Je suis près de chez toi. Je suis à la maison, tu peux passer. - D'accord, j'arrive. J'étais en train de rentrer, mais j'arrive. - Je m'en vais. - Reviens. Qu'est-ce qui se passe ? - Tu l'as surnommé Atou bae sur ton téléphone ? C'est Atou qui t'appelait ? - Oui.
Tu avais dit que tu en avais fini avec lui. Tu t'es réconciliée avec lui ? C'est récurrent les séparations amoureuses, mais on se rabiboche tout le temps. Il n'y a rien de mal à ça. Tu ne l'as jamais considéré comme ton petit ami. Amina, fiche-moi la paix ! Il m'aime, me respecte et est prêt à tout pour moi.
C'est maintenant que tu t'en rends compte ? Il est prêt à tout pour toi. Malheureusement, tu le prends pour un con, je te connais jeune fille. Tu veux lui soutirer de l'argent. - Pas du tout. Je l'aime et je suis prête à me marier.. Tu es sérieuse ? Tu as changé si brusquement. Tu es sérieuse ? - Oui. - C'est bien.
Je voulais passer d'abord à la maison, mais ce n'est plus la peine. Je pars. Je parie qu'elle veut lui soutirer de l'argent. Elle va l'achever. Elle m'étonne. Tu voulais me chercher du travail, je voulais savoir si tu vas le faire. Je ne fais rien et j'ai des charges.
Je ne peux pas rester longtemps en chômage. - Tu n'as pas de diplôme de coiffeuse ? Va déposer dans d'autres salons puisque tu maitrises ton travail. Le problème c'est que les autres salons ne vont pas me donner un bon salaire, comme le faisait Ouly.
As-tu fait des études ? Je veux dire si tu as un autre diplôme que celui de coiffeuse ? - Oui. Je vais te chercher du travail au sein de l'entreprise de mon grand frère. Je vais lui en parler, laisse-moi m'occuper de ça. D'accord ? - D'accord.
Je te laisse t'en charger. Allons-nous promener. - Ça fait longtemps que nous ne sommes pas sortis. - On le fera. J'ai beaucoup de choses en tête. Il faut que je règle certains détails. Qu'est-ce que tu me caches ? - Rien du tout.
Il faut que je règle les problèmes. Je veux investir, car je ne vais pas rester toute ma vie à l'étranger. Tu es louche !Tu me caches des choses. - Tu as remarqué quelque chose. Je ne te comprends plus. - Ne parle pas ainsi.
Tu pars ? - Allons-y. Ce n'est pas grave. Je t'ai vu au salon la dernière fois. Je voulais passer te saluer, mais mon téléphone sonnait. Un client. - Il voulait que je lui livre un sac de riz.
J'avais dit que j'allais passer si je ne suis pas en retard, mais je suis rentré tard. Je pense tout le temps à toi et ça impacte mon travail. Sache une chose, je suis fou de toi.
Pas plus que moi. Où est ton Amina ? Je l'avais vue avec ton ami. - On était ensemble tout à l'heure, elle est rentrée. Je l'ai vu avec l'autre fille qui travaille au salon.
Tu ne me parles que de travail depuis lors. Ne t'avais-je pas manqué ? Je ne suis pas là pour parler du travail. - Comme quoi ? Tu vas l'aimer. - Qu'est-ce que c'est ? - Sois plus intelligent. Tu as reçu le petit déjeuner que je t'ai envoyé. Tu parles des pains ? J'en ai même offert à mes amis.
J'étais très content. En plus, j'ai bien nargué Junior. - Tu as aimé ? Bien sûr, juste que ça ne peut pas contenir la faim. - J'aime ce que prépare les Maîga. - Tu ne vas plus manger là-bas.
Tu vas fréquenter les bons endroits. - J'espère que tu ne parles pas de là où on était la dernière fois ? Je n'irai plus là-bas. Je ferai ce que je veux maintenant. Je ne veux pas de problème, je veux être clair. - Je blaguais. - Je veux juste être clair. Laisse-moi m'occuper de tout.
D'accord alors. Je vais aller me changer dans la salle de bain. Vraiment ? Tu seras content.
Qu'est-ce que tu vas faire ? - Laisse-moi aller me changer. Je t'attends donc. J'espère qu'elle ne veut pas me violer ? Ma mère serait choquée, si elle me trouvait ici avec elle.
Ce n'est pas grave. Si Sadio Mané a pu se rattraper en marquant un pénalty, je peux le faire.
2022-03-22 12:33